Activité : Luthier
Période : 19ème s
Instruments fabriqués : violons et violoncelles
Biographie : Fils de Charles François Claudot (1750 - 1828) et frère d'Augustin Claudot (1776 - 1843) et de Nicolas Claudot (1777 - 1861).
Né à Mirecourt le 29-5-1794, mort en cette ville en février 1876. Il aurait, jusqu'à la mort de son père, qui avait le même prénom, signé ses instruments en ajoutant le nom de son épouse Madeleine Poirot : CLAUDOT POIROT, . Son petit-fils, François Claudot de Dijon, nous écrit aussi qu'il ne fut pas le créateur des violons "Marquis de l' air", comme le disent la plupart des biographes, mais il acheta la marque aux héritiers du luthier mirecurtien Lemarquis. Beaucoup de ses violons "Marquis de l'air", portent en plus à l'intérieur, sous les ff la marque LE MARQUIS. Les violons et violoncelles qu'il construisit personnellement sont de bonne facture et recherchés comme instruments d'ochestre. Le modèle est assez vouté comme ceux de son frère Nicolas ; la crosse est allongée et le vernis brun jaune. Les violons sont assez reconnaissables par le sillet du cordier ayant une coupe toute spéciale.
Source de la notice : Dictionnaire Universel des Luthiers, René VANNES, Editions "Les amis de la Musique, Bruxelles, 1972.
Né à Mirecourt le 29-5-1794, mort en cette ville en février 1876. Il aurait, jusqu'à la mort de son père, qui avait le même prénom, signé ses instruments en ajoutant le nom de son épouse Madeleine Poirot : CLAUDOT POIROT, . Son petit-fils, François Claudot de Dijon, nous écrit aussi qu'il ne fut pas le créateur des violons "Marquis de l' air", comme le disent la plupart des biographes, mais il acheta la marque aux héritiers du luthier mirecurtien Lemarquis. Beaucoup de ses violons "Marquis de l'air", portent en plus à l'intérieur, sous les ff la marque LE MARQUIS. Les violons et violoncelles qu'il construisit personnellement sont de bonne facture et recherchés comme instruments d'ochestre. Le modèle est assez vouté comme ceux de son frère Nicolas ; la crosse est allongée et le vernis brun jaune. Les violons sont assez reconnaissables par le sillet du cordier ayant une coupe toute spéciale.
Source de la notice : Dictionnaire Universel des Luthiers, René VANNES, Editions "Les amis de la Musique, Bruxelles, 1972.